Le 10 septembre 2025, Blocage Total !

Contre les coupes, unissons-nous et bloquons le pays. Boycott - Désobeissance civile - Solidarité. Ensemble, Mobilisation nationale à partir du 10 septembre!

Unissons-nous contre les injustices du gouvernement Bayrou.

Ce mouvement est né parce qu’on en a marre. Marre de voir Bayrou détruire ce qu’il reste de justice et de solidarité. Assez des coupes, assez des sacrifices toujours imposés aux mêmes, assez de l’austérité qui écrase les gens pendant que les puissants continuent tranquilles.

On ne veut plus subir. On veut reprendre le contrôle. Ensemble. Pour une société qui protège, qui soigne, qui éduque. Pour la dignité, l’égalité, la justice. Pas demain. Maintenant.

Les mesures d’austérité injustes du gouvernement

Face à l’austérité imposée par le gouvernement Bayrou, qui supprime 3 000 postes, gèle les salaires, attaque nos retraites, réduit les aides sociales, coupe dans la santé et supprime des jours fériés, ce mouvement citoyen se mobilise pour dénoncer ces injustices et reprendre notre pouvoir par la protestation pacifique et la solidarité.

Nos valeurs

Né·e·s en réaction au plan d’austérité brutal de Bayrou, nous portons des valeurs d’éthique, de solidarité et de non-violence. Nous appelons à rassembler tou·te·s celles et ceux qui refusent la casse des services publics et la montée des inégalités, et privilégions des actions pacifiques (boycott, coopération citoyenne, alternatives locales).

Objectifs principaux

Nous visons un changement en profondeur : mobiliser massivement dès le 10 septembre 2025 pour stopper radicalement les plans de Bayrou (gel des dépenses, suppressions de postes, santé et retraites sinistrées…) et reconquérir collectivement le pouvoir par l’action citoyenne non violente.

Un mouvement pérenne

Cette mobilisation ne se réduit pas à un coup d’éclat. Elle appelle à un engagement durable, à une responsabilité partagée. Ensemble, nous construisons une dynamique continue pour réinventer une société juste, solidaire et respectueuse de la dignité humaine.

Une utopie réaliste face à l’austérité Bayrou

Bayrou casse tout : jours fériés supprimés, hôpitaux à l’os, écoles abandonnées, retraites gelées. Il appelle ça “des économies”. Nous, on appelle ça une attaque contre la société.

On ne veut pas subir. On agit. Ensemble. Sans violence, sans parti, sans chef. Juste nous, citoyens, avec le boycott, la solidarité, le blocage. On veut montrer qu’un autre avenir est possible. Pas une utopie : un choix. Une nécessité.

Rejoignez-nous. Maintenant.

Le gouvernement Bayrou impose l’inacceptable : coupes dans la santé, retraites gelées, deux jours fériés supprimés, services publics démolis. Assez.
Ce mouvement est le vôtre. Pas besoin de chefs, juste de courage. Ensemble, par la solidarité, le boycott, la désobéissance civile, on peut stopper cette politique brutale.
Ceux d’en haut comptent sur notre silence. Montrons-leur qu’ils se trompent.
On commence. Le 10 septembre, on arrête tout.

Les modes d’action du mouvement

Face à la politique brutale de Bayrou, notre mouvement propose des moyens d’action concrets et pacifiques : actions collectives, boycotts ciblés, entraide sur le terrain. Pas de violence, mais une détermination totale à reprendre le pouvoir là où il nous échappe : dans nos vies, nos choix, notre solidarité.

1. Le boycott

1. Le boycott

À partir du 10 septembre 2025, on passe à l’action. Le mot d’ordre est simple : on arrête de faire tourner leur système. Le boycott est notre arme pacifique mais puissante. Voici comment agir concrètement :

  • Ne plus acheter dans les grandes surfaces qui profitent des baisses de cotisations, des aides publiques, tout en pressurant les salariés (Carrefour, Auchan, Amazon, etc.).
  • Retirer son argent des grandes banques complices de la spéculation et de la politique de casse sociale (BNP Paribas, Société Générale…) pour le placer dans des banques coopératives ou locales.
  • Refuser de consommer ce qui alimente le système : essence, fast fashion, plateformes numériques prédatrices (Uber, Deliveroo…).
  • Cesser de travailler dans la mesure du possible : prendre des congés, déposer des arrêts, ralentir volontairement la production (grève du zèle, grève du travail gratuit…).
  • Suspendre les paiements symboliques : ne plus valider ses tickets de transport, retarder ses impôts symboliquement pour dénoncer leur usage injuste (action coordonnée, non individuelle, à organiser juridiquement).
  • Soutenir les circuits courts : acheter local, échanger, partager, se débrouiller entre citoyens. Créer notre propre réseau économique temporaire.

Le but n’est pas de bloquer pour bloquer, mais de montrer qu’on peut vivre autrement, et qu’on refuse de participer à leur logique de destruction sociale. C’est un retrait stratégique, massif, organisé.

Le 10 septembre, on commence. Et on tient.

2. La désobéissance civile

Après le boycott, vient la désobéissance. Refuser d’obéir à des règles injustes, c’est légitime. C’est même nécessaire quand l’État agit contre l’intérêt général. À partir du 10 septembre, on entre en résistance civique.

Exemples concrets :

  • Refus collectif de remplir certaines obligations : déclarations, formulaires, évaluations imposées, recensements inutiles.
  • Rétention ou ralentissement volontaire dans les services publics : blocage administratif, grèves du zèle dans l’éducation, la santé, les transports.
  • Occupation pacifique de lieux symboliques : préfectures, mairies, antennes CAF ou France Travail, pour rendre visible notre opposition.
  • Blocages ciblés : routes, dépôts logistiques, grandes enseignes, sans violence mais avec détermination.
  • Refus de collaboration à la répression : enseignants, soignants, agents publics qui refusent de sanctionner ou d’exclure.
  • Soutien actif à ceux qui désobéissent : protection légale, relais médiatique, caisse de grève et de soutien.

Il s’agit de refus conscient d’un ordre injuste. C’est par la désobéissance que les plus grands changements ont commencé. Nous ne voulons pas détruire, mais reconstruire. Et ça commence par dire non.

3. La solidarité citoyenne

ÀBoycotter, désobéir, oui — mais pas chacun dans son coin. Ce mouvement ne tiendra que si on se soutient les uns les autres, concrètement, jour après jour. La solidarité n’est pas un slogan : c’est un outil de survie et de reconstruction.

Exemples concrets :

  • Créer des caisses de grève et de soutien local pour aider celles et ceux qui perdent un revenu en s’arrêtant ou en désobéissant.
  • Organiser des repas partagés, des distributions, des circuits courts entre citoyens : entraide alimentaire, troc, jardinage collectif.
  • Ouvrir des espaces de discussion et de coordination dans chaque quartier, chaque village, pour ne pas rester isolés, pour agir ensemble.
  • Mettre en lien les professions mobilisées : enseignants, soignants, cheminots, agents territoriaux, livreurs, étudiants… tous ceux qui subissent peuvent résister.
  • Partager les savoirs : ateliers juridiques, premiers secours, auto-formation à la résistance non violente, ateliers enfants pendant les grèves.
  • Relier les luttes : climat, logement, droits des femmes, travail… ce n’est pas une addition de causes, c’est une même injustice à combattre.

Sans entraide, on s’épuise. Avec elle, on tient. Et on montre que notre monde à nous est déjà en train de naître.


Publié le : 25 juillet 2025 21:20
Lutzi